La tentation des sens
Les draps blancs flottaient doucement sous la lumière tamisée. Marie, une quarantaine de printemps aux formes généreuses, sentait son souffle se précipiter alors que le regard de Thomas – l’étudiant voisin – glissait sur ses seins ronds, libres dans un soutien-gorge de dentelle défaite. Elle s’attarda à observer sa bouche entrouverte, ses joues rosies par l’émotion, et son sexe dur et gonflé déjà tendu entre ses cuisses. La tension montait, une pression étouffante malgré la chaleur de leur étreinte.
Elle se colla à lui, sa peau moelleuse heurtant la sienne, et murmura un « Tu as vu comme c’est lisse ? » en désignant le triangle rasé de son pubis. Ses doigts effleurèrent ses fesses pleines, les écarter pour exposer une chatte humide. Thomas frissonna, son souffle chaud se perdant dans la courbe de son oreille avant qu’il ne l’embrasse avec rudesse. « Tu as raison… », chuchota-t-il, avalant sa salive avec peine.
Ses mains se posèrent sur ses seins à nouveau, palpitants sous ses paumes, et il plongea son visage entre ses cuisses, léchant avidement la moiteur de sa chatte. Elle gémit, ses fesses serrant l’air tandis qu’il s’enfonçait en elle avec une force renouvelée. « Comme tu es belle… », souffla-t-il contre sa peau, avant d’écarteler ses cuisses et d’introduire un doigt dans son cul. Marie se cabra, son corps s’arcboutant à ce premier assaut anal.
Il rit doucement face à son émoi, puis glissa deux doigts supplémentaires pour la dilater avant de recouvrir sa bouche avec sa propre langue et de s’enfoncer dans sa chatte. Elle se mit à quatre pattes, ses grosses fesses offertes à son regard, et il lui caressa le clitoris en même temps qu’il léchait son anus. Marie haletait maintenant, ses seins rebondissant sous leurs attouchements.
Il s’empala sur son sexe, plongeant sans retenue dans sa chatte rasée et la pénétrant à nouveau avec une brutalité renouvelée. Ses mains agrippèrent ses hanches, serrant chaque fesse tandis qu’il l’embrassait avec frénésie. « Tu aimes ? », dit-il entre deux baisers, avant de s’enfoncer plus profondément en elle.
Il la souleva alors doucement et introduisit un doigt dans son cul, se redressant pour regarder son cul bombé et ses seins tendus vers lui. Marie gémit à nouveau, le suppliant silencieusement de l’achever. « Attends… », dit-il en reculant, et il la retourna brutalement avant d’enfoncer sa main dans son cul et de se rapprocher de son clitoris.
Il s’enfonça à nouveau dans sa chatte avec une violence accrue cette fois, ses mains agrippant fermement ses fesses pour l’empaler. « Je vais te faire jouir… », murmura-t-il entre deux coups de reins. Marie se sentit exploser sous ses caresses, son corps secoué par des spasmes et des cris étranglés.
« Maintenant », dit-il en s’enfonçant à nouveau dans sa chatte avec une violence accrue, et il se déversa en elle, sa main serrée autour de son sexe. Marie gémit longuement sous le plaisir, son corps roulant au creux des draps tandis qu’elle se laissait emporter par les vagues de son orgasme.
Il s’arrêta et l’enlaça, ses mains caressant ses seins et sa chatte humide. « Tu es une salope… », murmura-t-il en baisant ses lèvres. Marie sourit, un éclat de malice dans les yeux.
Ses doigts se posèrent à nouveau sur son cul, le taquinant avec une force renouvelée et un plaisir qui la firent frissonner. « Alors continue… », dit-elle en riant doucement.

